Stéphane, agriculteur dans le sud Mayenne, a réalisé grâce à nos conseils techniques, l’optimisation de ses pratiques de fertilisation et obtient des rendements similaires avec moins d’azote, plus de soufre et une correction en oligo-éléments.
Pour ses prairies ray grass/trèfle, non seulement, il a plus de production de biomasse mais ses vaches sont en meilleure santé.
Paroles d’agriculteur
Le GAEC de Stéphane s’étend sur 230 hectares.
Il produit 650 000 litres de lait. Son cheptel est composé de 40 mères allaitantes de race rouge des prés. Le sol est de type limono-argileux.
Quelles pratiques de fertilisation avez-vous mises en place ?
Après avoir appris sur le fonctionnement de mon sol, j’ai travaillé sur la réduction de la dose d’azote. En effet l’excès de nitrate dans les plantes est néfaste.
Aujourd’hui, je travaille avec moins d’azote, plus de souffre et une correction en oligoélément.
Finalement, j’arrive à des résultats similaires à ceux d’avant.
Quels choix avez-vous fait pour mieux valoriser l’azote et quels sont les résultats ?
Après avoir varié les espèces, avec des prairies temporaires (ray grass anglais, chicoré, trèfle violet…), la part d’azote a été réduite pour des résultats largement supérieur.
Avant, je travaillais avec du ray grass d’Italie, azoté par deux apports.
L’une des conséquences directes est une santé animale nettement meilleure.
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